
J’ai un côté collectionneuse, là, je ne vous apprends pas grand-chose.
La taille de mon shoesing, par exemple, parle pour moi.
Pas que j’en sois spécialement fière (accumuler des chaussures, ouais, super, un toc plutôt onéreux…) mais c’est un constat qui s’impose à moi.
Par contre, ce côté collectionneuse vient également d’un côté prévoyant, qui fait que quand j’aime, j’achète minimum en double la pièce en question.
Ce que j’appelle le « doublé gagnant », d’où le titre.
Si, si, y’a presque une logique dans ma démonstration foireuse à peine teintée de mauvaise foi séculaire.