Vous savez que quand on aime, on ne compte pas (ok).
Mais surtout, on n’aime pas se trouver dépourvu une fois que la bise fut venue une fois que la pièce adorée rend son dernier souffle.
D’où l’intérêt du doublé gagnant, concept hautement philosophique lancé l’année dernière et toujours aussi pratique comme argument bidon sérieux au shopping.
Vous vous souvenez de mon sac ethnique, déniché l’année dernière dans une petite boutique de la rue Dansaert à Bruxelles qui vend des tas de pièces venues d’Asie?
Je vous l’avais montré à plusieurs reprises sur le blog (ici et ici).
Il se trouve que ce fameux sac, c’est vraiment l’un de mes préférés.
Et qui dit préféré dit porté à outrance et déjà un peu fatigué de la bandoulière, le petit…
Du coup…