Une femme, moi?
Il se trouve que oui. Ca ne saute pas aux yeux tous les jours, je sais.
Ca n’est pas mon cher et tendre (parfois) qui dira le contraire.
Quand il m’a vue, il m’a dit « Oh! Pibolo* des années 50! »
C’est pas faux…
Cette robe, elle m’a littéralement sauté aux yeux, je ne peux pas vous expliquer pourquoi.
Elle est aux antipodes de ce que je porte habituellement et pourtant, je ne sais pas, je l’ai voulue instantanément.
Longueur sous le genou, manches mi-longues, taille marquée, un look 50’s revisité sans donner l’impression d’être déguisée pour autant.
Ca change?
Ca change!
Mais pourquoi pas, après tout?
Je peux délaisser mon jean, mes boots et mon perf’ quelques heures sans pour autant ne plus savoir comment je m’appelle, non mais!
Ca fait même du bien, de changer de style pendant quelques heures. On se sent différente, tout en ayant la possibilité de se « retrouver » en quelques instants, rien qu’en tombant la robe, les bas et les talons vertigineux.
Ca n’est pas plus compliqué que cela.
Moins cher qu’une thérapie?
Comment ça j’en aurais bien besoin?
Vous êtes dures avec moi!
Allez, ça passe pour cette fois.
Ca vous arrive, d’avoir des envies mode aux antipodes de vos goûts habituels et de vous sentir tout aussi bien qu’avec votre uniforme de tous les jours?
Racontez-moi!
Belle journée en tout cas! En bas, talons et robe 50’s, ou pas!
*Pibolo: mon surnom, que voulez-vous… j’en parle ici… 😉
Bas: Wolford
Chaussures: « Norah » House of Harlow 1960
Pochette: Marc by Marc Jacobs (chez My Wardrobe)
Collier: Monki
Bagues: Adeline Affre, nouvelle collection
Bracelet: Hod
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