C’est l’histoire d’une fille qui fait du shopping et qui tombe sur une petite robe qui lui remet soudain en mémoire que l’été, ça existe, dans certains pays en tout cas.
Cette fille aimerait bien que l’été revienne dans son pays à elle, elle se souvient qu’elle trouvait ça chouette, l’été.
Cette saison où les températures sont plus élevées, où elle peut gambader les jambonneaux à l’air, laisser ses doigts de pieds respirer, oublier les collants opaques (pourtant bien arrangeants « jambonnement parlant » mais c’est une autre histoire). Bref, saison où elle pourrait largement porter cette jolie petite robe qu’elle vient juste de croiser.
Comme cette fille est plutôt du genre optimiste (utopiste?), elle se dit que sur un malentendu, peut-être que l’été n’est pas un rêve si fou, qu’il finira bien par pointer le bout de son rayon de soleil un jour où l’autre, même si ça n’est que pour quelques heures.
Elle se dit qu’elle sera bien contente, si elle a raison, d’avoir succombé à cette petite chose à l’imprimé tie&dye qu’elle aime tant, au coton doux et aux finitions plutôt réussies pour un si petit prix.
Par contre, la voilà devant un petit problème.
La robe, quoi que tentante, a une drôle de longueur genou, moyennement justifiée pour ce type de vêtement et d’imprimé.
En plus, il ne reste plus que des grandes tailles, un peu trop larges pour cette fille si souvent surnommée « la planche à pain ».
Elle pense également que le souci de longueur pourra être réglé avec une petite ceinture en faisant blouser le haut de la robe et utilisant le grand volant du bas comme mini jupette.
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